Fondateur de la série web et télé Bonvelo, ambassadeur de Pittstop Vélo-Café et deux fois membre de l’équipe nationale de vélo de montagne, Dominick Ménard en connaît un rayon sur le vélo de gravelle. Celui qui a fait de Bromont son camp de base, revient d’un voyage à mi-chemin entre le bikepacking et le cyclotourisme de plus de 23 000 km, de la Colombie-Britannique à l’Argentine.
Qu’est-ce qui t’attire dans le vélo de gravelle ?
J’ai toujours adoré faire du vélo, mais j’ai fini par me sentir moins en sécurité sur la route. Je crois que c’est un peu ce qui explique l’engouement pour le vélo de gravelle. Ça permet de s’éloigner de la performance et de prendre le temps de contempler le paysage, de jaser et d’être spontané dans le choix de l’itinéraire.
Que préfères-tu des circuits de Bromont ?
De la ville, il suffit de quelques minutes pour être dépaysé. Le bitume laisse place au gravier et on a l’impression d’être au Vermont : pâturages, fermes, vignobles, maisons ancestrales et lacs nous font complètement décrocher. Il y a tellement d’options et de belles boucles possibles autour de Bromont. J’adore le périmètre situé entre Bromont et Sutton parce qu’il y a plusieurs chemins de gravier et on peut varier le trajet d’une fois à l’autre. Le Centre national de cyclisme de Bromont est un beau point de départ. Les routes non pavées sont interconnectées avec des sentiers de vélo de montagne et un réseau de pistes cyclables. C’est facile de partir à l’aventure sans carte, simplement explorer et découvrir des trésors cachés !
Pour quelles raisons as-tu accepté d’être ambassadeur de Pittstop ?
On peut faire confiance à toute l’équipe de professionnels et compter sur eux pour des conseils et de l’expertise sur la mécanique de toutes technologies, qu’elles soient électriques ou hydrauliques. On y rencontre toujours quelqu’un qu’on connait : c’est un endroit génial pour du réseautage, pour faire une pause-café ou pour du télétravail.